mercredi 27 février 2019

Punta Pérula. Jour 14


Mercredi le 27 février 2019. Punta Pérula. Jour 14. 0 km.

C’est notre dernier jour à Pérula! Comme ça passé vite!  Après déjeuner, nous faisons le grand ménage du VR : D’abord dehors avec le toit, la toile, les panneaux solaires, l’auvent et les vitres, puis à l’intérieur.  Un bon gros travail qu’on réussit à expédier en moins de trois heures.  Durant ce temps, nous avons la chance d’observer quatre dauphins qui viennent chasser juste en face de nous à trente mètres de la rive.  Super!

Ensuite quelques travaux de bénévolat et un peu de guitare avec le lunch.  Vers 14h, Martin et Pierre-Guy viennent me rejoindre pour notre dernière pratique de musique.  .  À 15h30, Paule et Hélène viennent écouter le résultat de nos pratiques.  Les attentes n’étant pas élevées, elles n’ont pas été déçues.  Même qu’on a eu des compliments pour Quizas, Quizas, Quizas. Est-ce qu’on continuera une fois revenus à Québec? À voir au printemps

Nous allons ensuite nous baigner et prendre une marche sur la plage avant d’aller à la douche.  Vers 17h30, nous prenons l’apéro avec Paule, Martin et Pierre-Guy devant notre VR en regardant les 33 bateaux ancrés dans la baie.

Nous soupons vers 19h30 puis entrons dans le VR à l’abri des moustiques qui sont un peu tannants à la brunante, mais particulièrement ce soir on dirait.

Quelques courriels, un peu de lecture et c’est déjà l’heure de se coucher.

Punta Pérula. Jour 13


Mardi le 26 février 2019. Punta Pérula. Jour 13. 0 km.

Après avoir admiré le lever du soleil et les couleurs par notre fenêtre nous avons pris notre temps pour déjeuner tout en écoutant la radio.  C’est brumeux ce matin. Et la couleur de l’eau a changé, tirant maintenant vers le vert émeraude.  

Après un téléphone pour me magasiner un nouveau canot, une petite pratique de guitare et des courriels, nous partons faire du snorkeling avec Martin.  Dès notre mise à l’eau on voit la différence avec avant-hier. La visibilité est presque nulle!  Nous nageons vers l’entrée de la baie mais cela ne s’améliore guère ce qui fait qu’on décide de retourner directement à la plage en nageant. Cela nous fera au moins de l’exercice.

Nous lunchons en arrivant puis à 14h, Pierre-Guy et Martin viennent pour la pratique en groupe.  On note encore une légère amélioration mais il faudrait vraiment plus de pratique pour que ce soit présentable devant public. 

Nous retournons nager vers 15h30 et revenons au VR pour contempler la mer et les 24 bateaux qui se sont mis au mouillage durant la journée. Un record depuis notre arrivée.  À cause de la brume ou de la direction du vent? Ou parce qu’il y a annonce de mauvais temps? On ne sait pas. On verra demain ce qui se passera.

À 17h30 nous allons rejoindre Alison et Craig au Red Snapper. Ils sont passés nous inviter pour l’apéro ce matin.  Nous jasons avec eux jusque vers 19h30 et nous nous quittons en se promettant de se visiter dès que possible, peut-être même cette année.

Nous passons par le Centro pour revenir au camping et décidons de souper dans la rue en face de la grande place.  Une dame y tient un petit comptoir sur le trottoir et y préparer des tacos et des quesadillas. Nous nous en choisissons trois chacun avec des aguas de tamarin et de petits fruits.  C’est très bon.  Nous complétons par une petite crème glacée artisanale dans le commerce voisin et retournons au VR pour lire le reste de la soirée.

Punta Pérula. Jour 12


Lundi le 25 février 2019. Punta Pérula. Jour 12. 0 km.

Nous avons observé le lever du soleil depuis notre lit.  Toute la palette du rose y est passée.  Nous nous sommes levés quelques minutes plus tard et sommes allés prendre une grande marche jusqu’à la Villa Polynesia.  Au retour, sur la rive de la lagune entre la villa et le camping, un gros crocodile venait de sortir de l’eau. Au moins trois mètres de long sinon quatre.  Mais il est timide car dès que je me suis approché, il s’est sauvé dans la lagune.  Nos huitriers sont toujours là ainsi que les échasses.

Nous déjeunons ensuite et allons faire des courses au Centro.  On s’achète encore du rouget pour souper. La recette sera différente ce soir encore.

Nous rencontrons ensuite Régis et Louisette, des campeurs du Lac St-Jean pour répondre à leurs questions sur certaines régions du Mexique en vue de leurs prochains trajets vers le nord. On en profite pour faire un peu de formation sur le GPS car ils ont éprouvé quelques problèmes d’utilisation récemment.

J’ai encore un peu de temps pour pratiquer la guitare avant le diner.

Vers 14h, arrivent Pierre-Guy et Martin pour la pratique quotidienne de musique. On note encore une amélioration chez tous les participants ce qui nous encourage à continuer. 

À 15h30, nous allons nous baigner et en profitons pour faire des exercices d’aquaforme en eau profonde. Ça travaille!  Nous poursuivons par une marche au nord de la baie et une autre baignade avant de nous rendre à la douche.

Vers 17h30, nous voici chez Paule et Martin pour l’apéro.  Avec les huitres fumées, ils nous servent des margaritas dignes de ce nom, certainement les meilleures depuis que nous sommes au Mexique.  



Nous retournons au VR vers 18h30 et Hélène nous prépare notre rouget à la Veracruzana pendant que répond à des courriels, rédige le blogue et me magasine un nouveau canot pour l’été prochain.

En soirée nous retournons marcher vers le Centro et revenons au VR pour lire et dormir pas trop tard.

lundi 25 février 2019

Punta Pérula. Jour 11


Dimanche le 24 février 2019. Punta Pérula. Jour 11. 0 km.

Le ciel resplendit de tons de rose ce matin. Il reste peu de nuages qui partiront rapidement dès que le soleil sera haut.




Nous allons prendre une marche sur la plage avant déjeuner et nous rencontrons Craig qui faisait de même. Nous déjeunons et je pratique la guitare jusque vers 10h30.  À 11h nous partons faire du snorkeling au nord de la baie.  L’eau est plus fraîche aujourd’hui mais elle est très claire avec une visibilité de 7-8 mètres certainement.  Nous observons au moins une vingtaine d’espèces dont plusieurs bien colorées.  Nous nageons durant 50 minutes environ au total et sortons avant de trop sentir le refroidissement du corps.

Nous prenons un repas léger et verduré vers 12h30 puis je retourne à ma pratique de guitare. Je sens une amélioration constante ces temps-ci, résultat sans doute de plus de pratique durant les dernières semaines.

Vers 15h30, nous allons nous baigner et Hélène en profite pour faire ses exercices d’aquaforme pendant que je m’amuse dans les vagues.  Nous allons ensuite prendre une petite marche sur la plage avant de nous dessaler sous la douche.

Petit apéro vers 17h30. J’ouvre ma bonne bouteille de Tequila reçue en cadeau d’André et Line il y a déjà plus d’un mois.  Un régal! Merci encore à tous les deux!  Nous espérons qu’on aura l’occasion de les revoir sous peu dans les environs de Puerto Vallarta.

Ce soir on se fait un souper confort maison : un bon repas de spaghetti italien avec la sauce qu’on avait préparée et congelée à Guadalajara il y a trois semaines. Miam!

Nous partons ensuite prendre une marche au Centro où Hélène s’achète une paleta de fruits. On y rencontre nos voisins du Yukon qui se sont offert des churros frits sur place.

Nous revenons vers 20h30 au camping où nous nous installons pour lire avant de nous endormir.

Punta Pérula. Jour 10

Samedi le 23 février 2019. Punta Pérula. Jour 10. 0 km.

Il fait nuageux ce matin et venteux. Nous décidons d’annuler notre sortie de snorkeling. Après déjeuner, nous allons aviser Myrna au camping Red Snapper que nous remettons la sortie à une autre fois.  Nous en profitons pour jaser avec Craig et Alison qui par hasard ont aussi un projet d’Amérique du Sud l’an prochain.



Nous allons ensuite acheter des fruits et légumes ainsi que du poissons frais et des crevettes pour ce soir. Maintenant qu’on a reçu notre bonbonne de gaz bien remplie, nous allons nous remettre à cuisiner dehors et vivement le poisson.

Je passe le reste de l’avant-midi à jouer de la guitare pendant qu’Hélène lit.  Après un léger goûter vers 13h, mes compagnons de musique se joignent à moi et nous pratiquons nos deux chansons en espagnol.  Une belle amélioration depuis hier mais il en faut encore.  Demain, on prend congé de groupe pour se pratiquer individuellement.

Vers 16h nous allons marcher puis nous nous offrons une petite baignade même si l’envie est moindre compte tenu du vent, de la température de l’air et de celle de l’eau.  Mais une fois saucé, c’est super!

Hélène nous prépare le souper de poisson avec un riz aux légumes et nous mangeons vers 19h.

samedi 23 février 2019

Punta Pérula. Jour 9


Vendredi le 22 février 2019. Punta Pérula. Jour 9. 0 km.

Après déjeuner, nous allons prendre une longue marche d’une heure et demi sur la plage.  Un peu de travail bénévole au retour puis je m’efforce de terminer mon livre.  Nous prenons un repas léger sous le ciel qui s’ennuage. Il ne fait que 24 degrés aujourd’hui avec un peu de vent.  Ça repose un peu du gros soleil pesant habituel. 





À 14h mes compagnons musiciens arrivent.  Martin a pratiqué deux chansons et nous en trouvons deux autres que nous connaissons tous les deux. On aura de quoi s’amuser durant les prochains jours.  Pierre-Guy apporte son Ukulele et ses accords. Il s’est bien préparé hier soir.  Ça s’en vient bien mais ses doigts qui ne sont pas endurcis l’obligent à arrêter après 30 ou 40 minutes. Ce sera mieux dans quelques jours.

Nous allons nous baigner à la mer vers 16h après avoir fait quelques courses. Il faut un petit peu de courage pour entrer dans l’eau mais c’est tout de même plus facile qu’au Québec en juillet.

Après la douche, Hélène nous prépare des confitures avec les belles fraises achetées à la tienda tout à l’heure.

Vers 18h15, nous quittons le camping pour aller au Café Jazz situé à deux coins de rue d’ici. Marc a réservé pour 30 personnes, c’est donc presque tout le camping qui sera présent.

Nous soupons au son de la musique Jazz du même trio que la semaine dernière. C’est bien agréable bien que loin d’être parfait. Enfin, à Pérula on fait comme les Pérulais comme dirait l’autre.  

Nous revenons vers 21h et passons le reste de la soirée à lire.

vendredi 22 février 2019

Punta Pérula. Jour 8


Jeudi le 21 février 2019. Punta Pérula. Jour 8. 0 km.

Ce matin nous renouvelons le camping pour une autre semaine.  Ce sera notre record à vide de durée à un seul endroit.  Nous sommes très bien à Pérula : bien campés sur le bord de la mer, bons services, près de tout, belle plage, mer chaude, sites d’ornithologie, gens sympathiques, activités sociales, etc.  Et comme il n’y a pas vraiment d’autre camping d’ici Puerto Vallarta où nous passerons deux semaines, aussi bien rester ici et en profiter.

Nous retournons faire une tournée près de la mangrove et voyons d’autres espèces intéressantes : pic à tête jaune, bihoreau violacé, échasse d’amérique, anis, etc.

Après déjeuner, nous allons faire près d’une heure de snorkeling au Nord de la baie.  La visibilité est meilleure qu’avant-hier. Nous voyons encore de nombreuses espèces de poissons dont deux espèces de raies. Et nous avons la chance de surprendre une tortue qui nage de longues minutes juste en dessous de nous.

Après un repas léger, Hélène va faire des courses pendant que je pratique la guitare avec Martin qui veut apprendre quelques chansons mexicaines à la flute : Cielito lindo et Quizas, quizas, quizas.  Pierre-Guy vient nous voir et nous informe qu’il a un Ukulele. Il viendra demain s’il réussit à pratiquer ce soir.

Petite baignade en fin d’après-midi puis une marche jusqu’au camping Red Snapper où Alison et Craig campent. Nous prenons un petit apéro avec eux et revenons au VR vers 17h.  Ensuite c’est la douche et nous partons vers 18h15 pour le méchoui de porc offert une fois par semaine dans un restaurant de la plage. Marc a fait les réservations pour une vingtaine de personnes.  Le repas est excellent et abondant, du moins pour nous qui sommes allés nous servir tôt.  

Nous revenons au camping vers 21h et le reste de la soirée est consacré à la lecture.

Punta Pérula. Jour 7


Mercredi le 20 février 2019. Punta Pérula. Jour 7. 0 km.

Déjà une semaine que nous campons ici et nous avons l’impression que nous venons d’arriver.  Tout de suite après déjeuner nous allons prendre une marche le long du lagon derrière le village afin d’observer les oiseaux. Nous avons notamment la chance de voir des sporophiles à col blanc et des passerins nonpareils. Ces derniers sont vraiment colorés!

Plus tard en avant-midi, après un peu de bénévolat, nous allons nager un bon vingt minutes le long de la rive de l’autre côté des vagues. Un peu d’exercice ne fait pas de tort.  

Le reste de la journée passe en pratique de guitare, lecture et baignades.

Nous nous faisons un souper léger et passons la soirée à lire.

Punta Pérula. Jour 6


Mardi le 19 février 2019. Punta Pérula. Jour 6. 0 km.

La journée ressemble à celle d’hier et possiblement de demain.  On ne s’en plaint pas.  Grande marche sous les nuages, petit déjeuner sur la terrasse, travail bénévole à distance, guitare, lecture puis nous allons faire des courses à la poissonnerie et chez le légumier.

Hélène nous prépare une super ceviche de poisson et crevettes que nous mangeons à l’ombre du cocotier devant le VR car nous avons dû fermer l’auvent le vent ayant pris de la force avec l’arrivée du soleil.

En après-midi, autre pratique de guitare, puis je fais voler mon gros cerf-volant. Le vent est fort et il me tire sur la plage à tout bout de champ.  Le vol ne dure que quinze ou vingt minutes car cela fatigue rapidement avec ce fort vent.

Nous allons ensuite nous baigner dans les vagues et jasons avec plusieurs de nos voisins de camping sur la plage.

Après la douche de fin d’après-midi, encore un peu de bénévolat, essentiellement de la révision de document et la validation d’un sondage, puis nous partons souper au Centre communautaire du village.  À tous les mardis soir, il y a un souper dont les bénéfices vont à une bonne cause locale. Aujourd’hui, c’est pour contribuer à l’opération d’un jeune enfant né avec un pied difforme.  

Nous rencontrons Alison et Craig avec qui nous passons la soirée.  Le repas est correct et le spectacle est assumé par des bénévoles dont certains ont beaucoup d’expérience.  Fait notable de la soirée, nos voisins de camping Marc et Carole interprètent deux chansons et Marc enchaîne ensuite avec un spectacle d’imitations bien réussies qui font rire aux éclats. Il a déjà failli en faire une carrière et ça parait. Par la suite, c’est la musique live et la danse. Les retraités se déchaînent!

Nous revenons au camping peu vers 21h30 et la soirée se termine sur un bon livre.

Punta Pérula. Jour 5


Lundi le 18 février 2019. Punta Pérula. Jour 5. 0 km.

Nous nous levons vers 7h30 puis déjeunons en écoutant Radio-Canada.  Ensuite, après une marche sur la plage et quelques menus travaux d’entretien, je consacre une heure à traiter certains sujets en relation avec la Société Provancher.



En milieu d’avant-midi, un peu de révision des chansons apprises hier puis à 11h, nous partons faire du snorkeling le long des rochers au nord de la baie avec Myrna, une femme de Saskaschewan voisine de camping de Craig et Alison.  Nous passons presqu’une heure dans l’eau. La visibilité est nulle au début, puis passable puis moyenne au fur et à mesure qu’on s’éloigne de la plage et qu’on avance vers la pleine mer.  Il y a pas mal de poissons dont plusieurs très colorés. Et quelques coraux aussi.  La sortie en valait la peine tant pour les poissons que pour l’exercice de nage d’au moins un kilomètre au total.  Comme nous n’avons pas apporté nos palmes, l’effort à fournir est évidemment plus grand.

Après une limonade au resto qui gardait nos biens, nous revenons au VR pour monger une salade.  L’après-midi passe en marche, lecture, guitare et baignade.

Nous soupons tôt car la salade de ce midi se fait lointaine.  Vers 19h30, nous rejoignons les autres campeurs dans la rue sur fond de sable adjacente au camping. Tous les lundis soir, il y a un feu de camp. Nous y restons jusque vers 21h et allons lire au VR avant de nous endormir rapidement au bruit de vagues.

dimanche 17 février 2019

Punta Pérula. Jour 4


Dimanche le 17 février 2019. Punta Pérula. Jour 4. 0 km.

Le ciel est nuageux ce matin. Nous allons prendre une longue marche sur la plage et un peu avant d’arriver au camping, voici que nous croisons Craig, un voyageur en VR qui nous avions rencontré avec Allison sa femme à Chacala l’an dernier.  Quel heureux hasard. On se parle un peu et on se promet de se revoir sous peu. Ils campent dans un autre camping plus loin sur la plage.

Nous déjeunons et prenons ça mollo le reste de l’avant-midi. Lecture pour Hélène et guitare pour moi. Je révise quelques notions théoriques apprises lors de mes cours avec Simon Martineau mais non parfaitement maîtrisées, faute d’étude et de pratique.

Nous nous baignons quelques fois dans la mer qui semble se réchauffer aujourd’hui par rapport aux deux ou trois derniers jours.  Vers la fin de l’avant-midi, nous allons faire quelques courses et arrêtons en passant inviter Greg et Allison pour un petit 6 à 8 ce soir ce qu’ils acceptent avec grand plaisir.

Hélène nous prépare ensuite une super soupe de poisson avec les filets non utilisés hier soir. On se régale.

Après une autre bonne baignade, c’est le temps de la pratique de guitare. J’ai deux chansons classiques mexicaines à apprendre : Celito lindo et Quizas, Quizas, Quizas. Hélène chante avec moi à quelques reprises. Très agréable.

Nos amis Allison et Craig arrivent en vélo vers 18h. Nous passons un très bon moment avec eux et faisons même quelques plans pour cette semaine. À suivre…

Nous ne souperons pas ce soir vu le gros diner et les entrées lors du 6 à 8.  La soirée passe donc en blogue et lecture.  J’ai bien hâte de commencer mon nouveau livre de David Goudreault.

samedi 16 février 2019

Punta Pérula. Jour 3


Samedi le 16 février 2019. Punta Pérula. Jour 3. 0 km.

Rien de palpitant aujourd’hui mais tout de même une très belle journée qui commence avec un super lever de soleil.





Après déjeuner nous allons à la poissonnerie acheter de beaux huachinangos tout frais.  Le poissonnier nous prépare de beaux filets pour notre repas de ce soir. De retour, on continue notre lutte aux fourmis en saupoudrant les nids à proximité de notre site.

Ensuite nous allons nager au large durant une vingtaine de minutes. La visibilité est faible et il faut souvent regarder au loin pour demeurer parallèle à la rive.

Puis nous consultons nos courriels et La Presse + et nous faisons un bon diner d’œufs et de frijoles au chorizo accompagnés d’avocat et de légumes.

En après-midi on alterne entre les baignades et la lecture. Je vais aussi m’installer sous la grande palapa du camping pour jouer de la guitare.  Mon public, composé de campeuses en train de jouer aux dominos, me demande de continuer lorsque je serre mon instrument.  Ce sera pour un autre jour mais ça fait plaisir que les gens apprécient.

En fin d’après-midi nous retournons nous baigner et invitons Paule et Martin à venir prendre l’apéro vers 17h30.

Nous allons ensuite acheter un snorkel à Hélène à la boutique de plongée du village tenue par un instructeur français bien sympathique.  Problème pour payer avec Paypal car je ne peux me connecter sans qu’il envoie un code à mon numéro de cellulaire du Canada, non accessible à partir d’ici.  On paye donc en dollars américains pour se garder assez de pesos pour les deux prochaines semaines. Il n’y a pas de guichet automatique ici…

Nous passons un très beau moment avec Paule et Martin lors de l’apéro.  Des gens bien intéressants qui partagent avec nous le goût du voyage et de la découverte mais aussi de la lecture.

Vers 19h, après le départ de nos voisins, Hélène nous prépare notre souper de poisson frais accompagné de légumes.  Le repas est succulent et c’est vraiment agréable de le déguster sur notre terrasse privée donnant sur la mer.

Le reste de la soirée est consacré à la lecture.

vendredi 15 février 2019

Punta Pérula. Jour 2


Vendredi le 15 février 2019. Punta Pérula. Jour 2. 0 km.

La journée débute par une longue marche sur la plage jusqu’à la Villa Polynesia où on avait campé il y a 30 ans.  Nous voyons des raies sauter près de la rive. Et nous observons des huitriers et des échasses d’Amérique pour la première dans ce voyage. Hier on avait vu une dizaine de spatules roses dans un marais pas très loin d’ici.

Nous déjeunons vers 9h30 puis après un peu d’Internet et une bonne baignade, nous allons faire des courses au village.   La température de l’eau a diminué au cours des 2-3 derniers jours. Elle est maintenant à 23 ou 24 degrés en surface au lieu de 28-29 auparavant. C’est tout de même très acceptable et on ne s’en plaint pas.

Vers 15h nous allons au bout de la baie oùz sont la plupart des petits restaurants de plage. Nous commençons par goûter aux huitres d’un vendeurs sur la plage à qui nous avions parlé hier. Elles sont bonnes mais pas autant que celles mangées l’année dernière sur la côte du Michoacan.  Ça doit dépendre de l’habitat où elles sont cueillies, comme pour nos huitres de l’Atlantique.





Nous marchons encore un peu sur la plage et retournons nous baigner. De retour au VR je pratique un peu la guitare mais suis interrompu par une attaque de fourmis dans le VR. Une colonne de minuscules fourmis monte par une courroie entre l’auvent et le sol, traverse l’auvent, fait le tour du VR par la gouttière et le pare-prise et entre en passant au travers d’une fenêtre avec moustiquaire.  C’est le branle-bas de combat.  

On arrête la montée sur le hauban en saupoudrant avec du bicarbonate de soude qui était dans le frigo. On nettoie toute la piste des fourmis. Et ensuite je trouve de la poudre insecticide avec l’aide d’un voisin. Cela a tout de même pris près d’un heure à régler le cas.  Les nids sont saupoudrés de poison, on verra demain…

Vers 19h, nous allons à un café au coin de la rue car on entend un band jouer de la musique. En route vers la sortie du camping nous rencontrons d’autres campeurs, Marc et Carole, qui se dirigent au même endroit que nous.  Nous passons deux heures bien agréables en leur compagnie à écouter les musiciens en sirotant une excellente margarita.

Nous revenons au VR et mangeons une petite salade puis c’est l’heure du blog et de la lecture.  Belle journée encore aujourd’hui!

De Tenacatita à Punta Pérula


Jeudi le 14 février 2019. De Tenacatita à Punta Pérula. 58 km.

Nous avons eu une nuit très tranquille. Pas de circulation et surtout pas de dérangement.  Nous nous levons vers 7h15 et déjeunons puis, vers 9h, nous nous rendons à pied à la petite baie sur la droite de la grande plage de l’autre côté du cap. La marée est haute mais nous pouvons tout de même passer le cap sans danger.  Nous sommes seuls sur la petite plage et il n’y a pas de vague. Nous ajustons nos masques et tubas et entrons dans l’eau fraîche et limpide.  

Nous demeurons un peu plus de trente minutes dans l’eau et nous sortons lorsqu’on commence à avoir froid. Ce n’est pas le récif de corail le plus beau et le plus populeux que nous ayons vu, loin de là. Mais pour la côte Pacifique Mexicaine, c’est très bien. La visibilité était exceptionnelle et nous avons observé plusieurs espèces de poissons multicolores, une murène tachetée, des oursins aux longues épines, quelques jolis coraux, etc.

Nous quittons Tenacatita vers 10h30 et roulons lentement jusqu’à Punta Pérula situé à environ 50 km en direction nord, vers Puerto Vallarta.

Nous nous rendons directement au camping Punta Pérula RV Park. Ils ont quelques places libres car plusieurs vacanciers ont déjà commencé leur migration vers le Nord.  Malgré le prix légèrement supérieur, nous choisissons la meilleure place du camping soit celle située juste en bord de plage, à côté des nids de tortues.  Nous prenons une semaine ce qui diminue en plus le coût à environ 25 CAD$ par jour. Une aubaine par rapport aux prix des campings au Canada et aux USA.



La majorité des campeurs viennent du Québec et de la Colombie-Britannique. Nous en rencontrons plusieurs en après-midi et d’autres encore au 5-7 qui a lieu au bâtiment principal.   Nous sommes ravis de voir un Safari-Condo parmi les VR installés au camping. Surprise! s’agit de Paule et Martin que l’on avait connus l’an dernier à Lo de Marcos.

Pour la St-Valentin, Richard, le responsable du camping , aidé de quelques autres, a organisé un souper sur la plage. Il n’est pas trop tard pour nous inscrire lors de notre arrivée, ce que nous faisons avec empressement.

Vers 19h, ce sont 35 participants qui sont installés dans un grande cercle autour du feu avec leur table, chaises, vaisselles et breuvages.  Le soleil vient de se coucher et on fait face à la mer avec une quinzaine de bateaux à l’ancre devant nous.  Ça commence bien.  

Le souper s’avère excellent : Poitrines de poulet juteuses, salades variées préparées par des campeurs et gâteau Tres leches pour dessert.

Nous sommes assis avec Paule et Martin que l’on apprend à mieux connaitre. Une autre surprise : ils demeurent à quelques coins de rue de chez nous.  Le monde est très petit!

La soirée passe rapidement devant notre immense feu de joie. La musique est bonne et plusieurs se laissent tenter par quelques danses dans le sable à la lueur du feu. C’est magique! Quelle belle soirée de St-Valentin! 



Nous quittons vers 23h en même temps que la majorité des participants. Un gros succès ce souper de St-Valentin.

De Boca de Iguanas à Tenacatita


Mercredi le 13 février 2019. De Boca de Iguanas à Tenacatita. 22 km.

Nous quittons notre camping vers 10h et arrivons à Tenacatita tout au bout de la grande baie du même nom vers 10h30.  Quel bel endroit! Même si la plage est bordée de ruines car un litige sur la propriété a obligé des dizaines de restaurants et 3-4 hôtels à fermer leurs portes. Aujourd’hui la magnifique plage de sable blanc et très fin est parsemée de parasols, tables et chaises où on vous offre des repas que les restaurants déménagés au village à moins d’un kilomètre vous livrent 30 minutes plus tard.



Nous marchons longuement sur la plage, allons nager, allons explorer l’autre petite baie où se fait du snorkeling puis une autre petite baie donnant directement sur l’océan de l’autre côté de la pointe.  On s’y baigne aussi et l’on sent la différence de température.  Il y a déjà trop de vent et de vagues à cette heure-ci et on remet le snorkeling à demain matin.







Nous sommes stationnés en bord de plage sur l’ancienne plateforme en ciment d’un restaurant. C’est là qu’on passera la nuit.  Il y a des gardiens jour et nuit tout près et donc l’endroit est jugé sécuritaire par les voyageurs qui ont laissé leurs commentaires dans l’app Ioverlander.  

Nous lisons aussi sur la plage et allons nous installer le temps du dîner au site du resto Chito. Hélène se commande un poisson grillé et moi une ceviche mixte c’est-à-dire avec toutes sortes de fruits de mer. Quelle surprise lorsqu’arrivent nos plats. Chacun d’entre eux aurait été suffisant pour deux.  Le poisson d’Hélène est excellent mais ma ceviche est sublime. Peut-être la meilleure que j’ai mangée au Mexique à vie. Nous nous régalons tous les deux et partageons nos repas.

Les visiteurs quittent la plage vers 18h pour la plupart. Quelques-uns s’attardent jusqu’à 19h. Un groupe de jeunes vient nous parler en attendant leur taxi. Bien sympathiques!

La soirée se passe en blogue et lecture au son des vagues bien moins violentes ici qu’à Boca de Iguanas. 

Boca de Iguanas. Jour 2


Mardi le 12 février 2019. Boca de Iguanas. Jour 2. 0 km.

La nuit fut très calme malgré le bruit incessant des vagues qui nous procurent un sommeil quasi- hypnotique.

Nous allons prendre une longue marche sur la plage en direction de La Manzanilla.  Le temps est couvert à l’aller mais déjà au retour, les nuages s’éparpillent et laissent place au soleil qui les harcèle.






Après le petit déjeuner, nous passons quelque temps à l’Internet pour répondre à nos courriels puis nous revenons lire au VR.  Une petite baignade sans aller dans les trop grosses vagues et c’est déjà l’heure de la siesta.  Quand il fait très chaud, ça vaut de l’or!

Nous nous faisons un BBQ vers 15h. Le steak est certainement digne de figurer au livre des records Guinness comme étant le plus dur en Amérique du Nord en 2019. On peine même à le couper avec un couteau. Le boucher de Melaque nous a joué un vilain tour en nous vendant de la semelle de botte à bouillir au lieu de viande à rôtir.

Profitant du charbon brûlant, je vais aussi rôtir des cuisses de poulet pour un prochain repas.  Hélène ne peut résister à s’en prendre une tout de suite car elle a renoncé à son steak «durissimo».

Nous retournons marcher sur la plage en fin de journée et j’en profite pour faire de nombreux appels téléphoniques car le signal y est convenable contrairement à celui reçu au camping.

De retour sur le camping, nous arrêtons jaser avec Normand et Francine, des québécois bien installés ici depuis deux semaines environ. Un peu plus tard, ce sont Jean-Louis et Karen qui viennent nous rejoindre. Nous placotons avec eux jusqu’à 20h et les quittons lorsque les moustiques deviennent un peu trop insistants compte tenu que nous sommes encore en maillots de bain.

Le reste de la soirée se passe en blogue et lecture comme d’habitude.

mardi 12 février 2019

De Melaque à Boca de Iguanas


Lundi le 11 février 2019. De Melaque à Boca de Iguanas. 22 km.

Nous faisons les courses tout de suite après déjeuner et partons vers 10h de Melaque.  Et c’est déjà l’arrivée au camping de Boca de Iguanas moins de 45 minutes plus tard.  Nous nous installons sous les cocotiers car les places sur le bord de la mer sont toutes prises. 

Notre camping à Boca de Iguanas


Et nous allons ensuite nous promener sur la plage. Les vagues sont pas mal grosses. Hélène demeure près du bord alors que prudemment je passe la ligne où elles cassent violemment.  Plus facile d’entrer que de sortir. Au bout d’une quinzaine de minutes, je sors avec vigueur entre deux grosses vagues. Un peu plus tard, nous apprenons qu’un campeur s’est fait happer par une déferlante hier et a subi une quasi-noyade avec une commotion cérébrale. Ayoye! Il est entre la vie et la mort à l’hôpital.

Courlis corlieu



Nous revenons luncher au VR et vers 14h, nous nous rendons au restaurant du bout de la plage pour prendre une limonade et profiter de leur grande piscine en bord de mer.  Quelques iguanes viennent nous saluer.






Vers 17h, alors que le soleil est moins cuisant, nous allons prendre une grande marche sur la plage en direction de La Manzanilla, à l’autre bout de la baie à quatre kilomètres d’ici. Nous nous rendons à mi-chemin et retournons ensuite au VR.  C’est l’heure de la douche puis des courriels. J’ai des appels à faire mais le signal cellulaire est très faible ici. Je vais réessayer demain en allant sur la plage vers La Manzanilla. On verra.

Nous nous faisons un bon souper de poisson frais acheté ce matin au marché.  Quelques maringouins font leur apparitions après le repas et nous nous replions donc dans le VR pour faire la vaisselle.

La soirée passe en ménage des photos, blogue et lecture.

Trois jours à Melaque


Dimanche le 10 février 2019. Melaque. Jour 3. 0 km.

La journée commence par un lavage extérieur du VR. Il n’est pas très sale mais mieux vaut laver de temps à autre en bord de mer car les embruns salés risque de causer de la rouille.



Pendant qu’on déjeune, notre voisin Brian vient nous offrir ses bicyclettes.  Notre programme de la journée vient de changer car nous acceptons son offre avec joie.

Nous partons donc en vélo vers 9h30 pour nous rendre à Barra de Navidad que nous avons visité la dernière fois il y a 30 ans lors de notre année sabbatique.  

Nous ne reconnaissons rien tant cela a changé. D’un petit village de pêcheur, c’est passé à un gros village de maisons secondaires et de villas principalement. On y retrouve quelques marinas et plusieurs maisons bâties le long de canaux disposent de leur quai particulier.










Sur la pointe du banc de sable, on a construit une place, le Maleconcito, d’où on peut observer les surfeurs, les bateaux qui entrent ou qui sortent de la lagune, et au loin, la ville de Melaque.

Nous prenons le temps de nous assoir dans un restaurant en bord de plage et y sirotons avec grand plaisir une grosse limonade.







Nous revenons au camping vers 11h30 et allons nous baigner avec nous être hydratés un peu. L’eau est chaude pas ordinaire. Près de 30 degrés.  

Nous dinons ensuite légèrement et faisons quelques appels à la famille au Québec.

Le reste de l’après-midi passe en baignades et lecture en bord de mer. Grosse vie sale!

Hélène nous prépare un repas indien ce soir. Végétarien. Un excellent Dal avec un cury de légumes et du riz. Ensuite nous allons voir le soleil se coucher. Un tout nouveau spectacle où le soleil, caché derrière les montagnes, nous lance ses rayons vers le ciel. Spécial!



Après la vaisselle, nous allons au comptoir de crème glacée de l’autre côté de la rue. De la vraie faite avec de la vraie crème! Coco pour Hélène, noix et amandes pour moi. Les deux sont exquises et viennent définitivement enterrer toute chance de nous vanter d’un souper végétalien ce soir. Tant pis! C’était cochon pas pour rire de savourer bouchée par bouchée au parc central parmi la foule de la soirée.
Nous revenons au VR vers 19h30. On réserve plusieurs livres numériques à la bibliothèque afin de nous assurer d’un flot continue au cours des prochains jours et prochaines semaines. Ensuite, un peu de guitare pour moi et c’est la lecture jusqu’au dodo.



Samedi le 9 février 2019. Melaque. Jour 2. 0 km.

Qu’est qu’on a fait aujourd’hui? Quand on ne bouge pas d’endroit, les jours se ressemblent et il faut parfois faire un effort le soir pour se rappeler les éléments principaux de la journée.  En fait rien de bien spécial en ce samedi : quelques courses au marché, une grande marche dans la petite ville en direction de Barra de Navidad, jusqu’au camping El Tule que nous n’avions jamais visité. Pas si mal comme endroit, sur la barre de sable entre la mer et la lagune. Avec piscine en plus. Nous revenons par la plage et nous nous baignons en arrivant. 


Après dîner, on prend ça mollo avec lecture sur la plage et guitare en fin d’après-midi.

Ce soir nous sommes sortis pour souper.  C’est la soirée Pizza sur feu de bois.  Nous nous asseyons près d’un couple qui nous aborde en français. Des québécois forts sympathiques qui viennent passer l’hiver ici depuis plusieurs années. Nous terminons vers 21h et en revenant au camping, nous achetons un cornet de sorbet au fruit de la passion vraiment savoureux.



Encore un peu de lecture et puis dodo vers 22h30.

samedi 9 février 2019

De La Manzanilla à Melaque


Vendredi le 8 février 2019. De La Manzanilla à Melaque. 19 km.

Nous quittons notre camping Las tortuguitas vers 10h après avoir salué nos voisins.  Moins de 30 minutes plus tard, nous sommes rendus au camping La Playa Trailer Park à Melaque. Le même que la semaine dernière. En passant nous sommes allés voir le camping semi-sauvage du bout de la plage et l’autre visité par les caravanes. On se rend compte que notre choix est bien meilleur en fonction de nos critères.

Nous allons ensuite à la banque où nous faisons la file durant vingt minutes environ. Il manque de guichets à Melaque.  Puis nous faisons des courses avant d’aller à la plage pour marcher, nous baigner avec quelques grosses vagues et lire en observant le paysage et les gens de temps à autre.

Notre voisin de camping vient jouer au ballon avec son chien super-intelligent, un Border-collie.  C’est incroyable de voir ce chien attraper le ballon au vol entre ses pattes et son cou puis le rapporter à la course en le propulsant alternativement avec ses pattes avant.  Et encore plus de le voir échanger le ballon avec son maître en utilisant son nez, comme une otarie.  Une première pour moi!

Vers 18h30, nous allons rejoindre quelques voisins à la plage pour observer le coucher de soleil derrière la montagne.  Les couleurs sont au rendez-vous!




Nous nous faisons ensuite du poisson pour souper. Rien de moins que du marlin, une sorte de poisson-épée, servi bien crèmé et accompagné d’une ratatouille. On se délecte.

Et pour la soirée, nous partons prendre une petite marche au Centro à deux pâtés de maison d’ici. C’est agréable de voir la foule attablée dans les rues tout autour. On se laisse tenter par un succulent flan napolitain, un dessert très populaire au Mexique.

De retour au VR, c’est nos lectures qui nous occupent jusqu’au moment de dormir.  Pas d’odeur nauséabonde de lagune polluée ici. On dort avec toutes les fenêtres ouvertes. Quel soulagement!

Conclusion de ce voyage au Mexique en Safari Condo

Conclusion de ce voyage au Mexique en Safari Condo Quel magnifique voyage et quel bel hiver ce fut !  Sans aucun pépin!   Nous som...