Goose Island State Park. Jour 2.

Jeudi le 4 avril 2019. Goose Island State Park. Jour 2. 0 km.

Nous nous levons vers 7h et déjeunons rapidement pour le rendez-vous ornithologique de 8h30.  Mais à l’heure dite, il n’y a personne d’autre que nous.  Probablement à cause de la brume qui nous entoure.  Nous sommes déçus d’avoir fait le pied de grue (blanche).  En attendant, on a tout de même vu quelques petites parulines.

Nous allons en bord de mer et rencontrons un couple qui nous annonce qu’en effet le tour a été remis à 10h30 et commencera à l’endroit où nous sommes.  Nous restons donc là en regardant attentivement les oiseaux de rivages surtout.  Et nos guides arrivent vers 10h30. Un gentil couple du Michigan qui œuvrent à titre d’ornithologues bénévoles durant tout le mois d’avril dans le Parc.  Mais ils auraient dû, je crois, venir au rendez-vous ce matin pour nous avertir que c’était remis à plus tard.  Au-delà de cela, ils sont très compétents et sont généreux de leurs connaissances sur les oiseaux.

Durant plus de deux heures avec eux nous avons pu identifier plusieurs sortes de pluviers, bécasseaux, bécassins, sternes et avons vu des becs-en ciseaux, courlis, aigrettes et bien d’autres.

Tyran à longue queue vu par le télescope 

Notre guide bénévole avec le groupe. 

Matin brumeux 

Nous revenons dîner à notre site de camping vers 13h et nous nous lançons ensuite dans le grand lavage du VR. Avec la pluie des derniers jours, l’extérieur était vraiment sale et le plancher propre d’hier ne l’était plus aujourd’hui.

Une bonne partie de l’après-midi passe en Internet, guitare et lecture.  Le soleil se met de la partie. Il fait chaud et humide mais on ne se plaint pas.  Peu avant souper, nous allons faire un autre tour dans le sentier adjacent au camping. Nous voyons beaucoup d’oiseaux mais malheureusement nous peinons à en identifier plusieurs.  Les parulines, ça bouge beaucoup et rapidement. Une telle a la tête jaune mais on ne voit pas le reste du corps. L’autre nous montre une poitrine jaune et un menton noir mais on ne voit pas le reste. Et ainsi de suite.  Nous avons encore des croutes à manger pour les parulines. Surtout ici où on en retrouve cinquante espèces différentes !  Malgré cela nous observons un héron vert, des cardinals, des mésanges à plumet noir et des parulines (orangée, à joues grises, à gorge noire, noir et blanc, et d’autres dont l’identification reste incertaine).

Après c’est la douche et la préparation du souper vers 18h30.  Hélène nous cuisine une grosse soupe de poisson avec des légumes.  Un délice !